Les Vendredi d'Eleanor_ Joanna Trollope
Eleanor s'ennuie... elle invite adeux mères célibataires (Paula et Lindsay) pour des soirées su Vendredi. Peu à Peu le groupe s'élargit avec Jules (soeur de Lindsay), Karen une amie, Blaise (collègue de Karen). L'amitié du groupe et forte, les habitudes aussi...
Chacune des filles à ses propres tracas, ses propres façon de penser la vie, mais toutes vivent tranquillement.
L'arrivée de Jackson ( un homme) fausse un peu toutes les relations et les soirées ne seront plus les mêmes.
PAULA (ado) et son père
"-l'intérêt des études supérieures c'est de vous donner des outils pour mieux vivre ensuite. A 20 ou 30 ans, on ne voit pas le temps passer : C'est à ses quarante-cinquante ans qu'il faut penser. quand tout se met à aller lentement
- si j'y pense je vais gâcher le "maintenant"..."
JULES à ELEANOR
-tu sais ce que sais d'être tellement accro à un mec qu'il n'y a plus rien qui compte ?
- non
- tu as de la chance
KAREN pour elle même
qu'y avait-il dans la maternité qui éclipsait le couple ?Qu'avait on en soi pour persister à refuser la maternité comme seule référence identitaire ? qu'y avait-il dans l'argent qui vous faisait miroiter la promesse d'être libre au sein même de relation qui vous enchaînent ?
KAREN à ELEANOR
- je suis débordée
-vous l'êtes toutes
- parfois, se laisser déborder vous dispense de trop réfléchir. On n'a pas besoin de prendre de décisions.
Alternant le point de vue des différents personnage, le lecteur est témoin d'une belle mise en lumière des sentiments de chacun. Plein de réalisme. Livre sur le thème du temps qui passe, du changement, parfois difficile, souvent nécessaire ... qui permet une douce et agréable réflexion dans la légéreté... un livre sympathique.
Chacune des filles à ses propres tracas, ses propres façon de penser la vie, mais toutes vivent tranquillement.
L'arrivée de Jackson ( un homme) fausse un peu toutes les relations et les soirées ne seront plus les mêmes.
PAULA (ado) et son père
"-l'intérêt des études supérieures c'est de vous donner des outils pour mieux vivre ensuite. A 20 ou 30 ans, on ne voit pas le temps passer : C'est à ses quarante-cinquante ans qu'il faut penser. quand tout se met à aller lentement
- si j'y pense je vais gâcher le "maintenant"..."
JULES à ELEANOR
-tu sais ce que sais d'être tellement accro à un mec qu'il n'y a plus rien qui compte ?
- non
- tu as de la chance
KAREN pour elle même
qu'y avait-il dans la maternité qui éclipsait le couple ?Qu'avait on en soi pour persister à refuser la maternité comme seule référence identitaire ? qu'y avait-il dans l'argent qui vous faisait miroiter la promesse d'être libre au sein même de relation qui vous enchaînent ?
KAREN à ELEANOR
- je suis débordée
-vous l'êtes toutes
- parfois, se laisser déborder vous dispense de trop réfléchir. On n'a pas besoin de prendre de décisions.
Alternant le point de vue des différents personnage, le lecteur est témoin d'une belle mise en lumière des sentiments de chacun. Plein de réalisme. Livre sur le thème du temps qui passe, du changement, parfois difficile, souvent nécessaire ... qui permet une douce et agréable réflexion dans la légéreté... un livre sympathique.